
2025-07-17
Juillet
Carla Chanelle
Les
refrains lancinants et les mélodies sinueuses de Juillet, nouveau simple
indie pop de Carla Chanelle, semblent baigner sous le soleil même de l’été.
L’autrice-compositrice-interprète
Charlotte Béland a bien compris que le mois le plus torride de l’année recelait
promesses et possibilités. Dans sa chanson, nappée de doux synthés et de
guitares apaisantes, la saison chaude devient la trame de fond parfaite aux
rêveries, aux doutes et aux désirs.
J’aimerais raconter quelque chose de vrai
Un vœu confié à demi-mot, en secret
J’aimerais raconter quelque chose de vrai
Ouvrir chacune des portes closes, en secret
Plus intime que jamais, la voix posée de Carla Chanelle transforme en précieuses confidences ses envies inavouées et sa soif d’enfin laisser entrer l’inconnu dans sa vie. Et qui d’autre que le respecté Félix Dyotte pour l’aider à mettre l’été en bouteille ? Il chapeaute le projet avec un souci du détail digne de ses plus belles réussites en tant que réalisateur (Evelyne Brochu, Émile Bourgault). Le tout - un peu moins de trois minutes de musique incandescente - trouve l'équilibre idéal grâce au travail de mix et de matriçage de Pascal Shefteshy (Jimmy Hunt, Pierre Lapointe, Peter Peter), maître dans son domaine.
À se fier à l’impressionnante distribution de sa pièce et sa présence remarquée dans les médias (de Radio-Canada aux radios universitaires en passant par la géante française FIP), on peut croire que Carla Chanelle ne vise rien de moins que les étoiles. Mais elle le fait les deux pieds sur terre, enracinée dans ses chansons pleines d’âme et sa sincère poésie.
J’aimerais raconter quelque chose de vrai
Un vœu confié à demi-mot, en secret
J’aimerais raconter quelque chose de vrai
Ouvrir chacune des portes closes, en secret
Plus intime que jamais, la voix posée de Carla Chanelle transforme en précieuses confidences ses envies inavouées et sa soif d’enfin laisser entrer l’inconnu dans sa vie. Et qui d’autre que le respecté Félix Dyotte pour l’aider à mettre l’été en bouteille ? Il chapeaute le projet avec un souci du détail digne de ses plus belles réussites en tant que réalisateur (Evelyne Brochu, Émile Bourgault). Le tout - un peu moins de trois minutes de musique incandescente - trouve l'équilibre idéal grâce au travail de mix et de matriçage de Pascal Shefteshy (Jimmy Hunt, Pierre Lapointe, Peter Peter), maître dans son domaine.
À se fier à l’impressionnante distribution de sa pièce et sa présence remarquée dans les médias (de Radio-Canada aux radios universitaires en passant par la géante française FIP), on peut croire que Carla Chanelle ne vise rien de moins que les étoiles. Mais elle le fait les deux pieds sur terre, enracinée dans ses chansons pleines d’âme et sa sincère poésie.
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