Dans If Only One, Stuart Duff Lister signe l’une de ses chansons les plus intimes et les plus déchirantes. Sur un folk rock crépusculaire, l’auteur-compositeur explore ce moment où l’amour s’est déjà échappé, mais où le cœur refuse encore d’accepter la défaite.

La chanson suit un narrateur qui tente de combler le vide laissé par une rupture en s’accrochant aux lumières des bars, aux derniers verres, aux prières lancées trop tard. Dans un décor de rues désertes et d’aube qui cogne, il revisite les souvenirs, les regrets et ces « si seulement » qui hantent les lendemains difficiles. Si seulement un verre de plus pouvait la ramener… si seulement les fissures pouvaient se réparer… si seulement le feu n’était plus douloureux.

Avec une écriture cinématographique, Stuart Duff Lister pose des images fortes, bouteilles brisées, motels fatigués, vieux lampadaires qui veillent pour raconter le deuil amoureux et la lucidité qui finit toujours par frapper. If Only One devient alors un portrait touchant d’un homme qui cherche encore à recoller les morceaux, même s’il sait au fond que rien ne reviendra comme avant.