2025-08-15
Couteau à la gorge
Alix Fernz
Annoncée par une pluie de cloches synthétiques, l’hymne new wave Couteau à la gorge (19 août 2025 via Mothland) d’Alix Fernz traverse la nuit au pouls d’un backbeat incisif avec, comme décor, un arrangement complexe alliant airs mélodiques, phrasés syncopés et accords dodécaphoniques. Pour ce premier extrait tiré de Symphonie publicitaire sous influence (17 octobre 2025), l’auteur-compositeur et interprète montréalais raconte, au fil de cabrioles vocales des plus idiosyncratiques, la fugue, cigarette à la bouche, d’une jeune cinéaste en devenir nommée Anna.
Symphonie publicitaire sous influence s’ouvre sur un amalgame de dissonances synthétiques, de rythmes décalés et de voix inhumaines, Alix Fernz réaffirmant d’emblée sur ce deuxième album son penchant pour les arrangements magnifiquement sordides et les sonorités exquisément acides. Continuant de façonner sa « ménagerie post-punk, new wave et alt-pop déjantée » (Cult MTL), Fernz nous traîne pour une seconde fois dans les sombres recoins de la zona rosa montréalaise, proposant 10 pièces toquées mais remplies de sage bienveillance.
Propulsées par une section rythmique motorik sur laquelle se tordent guitares incisives et synthétiseurs dignes d’une trame de film psychotronique des années 80, les chansons de Symphonie publicitaire sous influence racontent un quotidien glamour donnant dans l’excès. Alix Fernz se penche de façon allocentrique sur les maux d’une communauté ayant troqué la lumière du jour pour une surdose de néons, en profitant pour partager son expérience propre de cette idylle délinquante.
Pour mener à termes ses hymnes fantasmagoriques, Alix Fernz (voix, guitares, synthétiseurs) a fait appel au co-réalisateur Nicolas Dubé (Stoylov), au bassiste Vincent Lemay (Vincent Paul, Allô Fantôme), au batteur Juan Espitia (Rau_Ze, Choses Sauvages), ainsi qu’à Kenneth Gilmore (Weyes Blood, Ariel Pink, Boyhood) qui s’est chargé du mixage et du matriçage. À l’instar du premier album, c’est Nora Mejdouli qui signe la pochette de Symphonie publicitaire sous influence.
Symphonie publicitaire sous influence s’ouvre sur un amalgame de dissonances synthétiques, de rythmes décalés et de voix inhumaines, Alix Fernz réaffirmant d’emblée sur ce deuxième album son penchant pour les arrangements magnifiquement sordides et les sonorités exquisément acides. Continuant de façonner sa « ménagerie post-punk, new wave et alt-pop déjantée » (Cult MTL), Fernz nous traîne pour une seconde fois dans les sombres recoins de la zona rosa montréalaise, proposant 10 pièces toquées mais remplies de sage bienveillance.
Propulsées par une section rythmique motorik sur laquelle se tordent guitares incisives et synthétiseurs dignes d’une trame de film psychotronique des années 80, les chansons de Symphonie publicitaire sous influence racontent un quotidien glamour donnant dans l’excès. Alix Fernz se penche de façon allocentrique sur les maux d’une communauté ayant troqué la lumière du jour pour une surdose de néons, en profitant pour partager son expérience propre de cette idylle délinquante.
Pour mener à termes ses hymnes fantasmagoriques, Alix Fernz (voix, guitares, synthétiseurs) a fait appel au co-réalisateur Nicolas Dubé (Stoylov), au bassiste Vincent Lemay (Vincent Paul, Allô Fantôme), au batteur Juan Espitia (Rau_Ze, Choses Sauvages), ainsi qu’à Kenneth Gilmore (Weyes Blood, Ariel Pink, Boyhood) qui s’est chargé du mixage et du matriçage. À l’instar du premier album, c’est Nora Mejdouli qui signe la pochette de Symphonie publicitaire sous influence.
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