Le Belladone est ravie d'annoncer la sortie de son nouveau single Au nom de la mère et de la fille, disponible dès le 15 août. Avec ce premier single, Le Belladone explore la relation complexe entre une mère et sa fille, marquée par les attentes imposées et la perte de liberté individuelle.

À travers des symboles religieux, elle dépeint une dynamique où la mère exerce un contrôle presque divin sur le destin de sa fille, la voyan tcomme un moyen d’accomplir ses rêves et de réparer ses manques. Cette relation, à la fois sacrée et oppressante, met en lumière les tensions entred evoir et soumission, et soulève des questions profondes sur la quête d’identité et la pression familiale. Accompagnée d’un vidéoclip magnifiquement troublant, la chanson explore des sons expérimentaux enfantins hyper stimulants qui permettent à l’artiste de renouer avec son enfant intérieur.

Avec Blaise Borboën-Léonard à la co-réalisation, Le Belladone démontre ses connaissances en beatmaking grâce à cette production étoffée, remplie de surprises et de glitchs. Cette collaboration donne naissance à une exploration de sound design et de samples qui créent des textures éclectiques, servant d’apéritif décadent pour l’album qui paraîtra en début 2026. Entre les chœurs opératiques et le drum and bass, c’est par évidence qu’on se laisse entraîner par le refrain joueur de Au nom de la mère et de la fille

Le Belladone mêle des textes à la fois fragiles et cruels à des mélodies mélancoliques, vous laissant quelque part entre malaise et catharsis. Sur scène, Le Belladone impose sa présence avec la délicatesse d’une claque. Sa scénographie ésotérique crée un rituel étrange où l’intime devient provocation. Elle déchire ses propres blessures sous vos yeux et écrase, au passage, les égos les plus fragiles sous ses bottes. Son public, qu’elle appelle ses « belles-dames », se perd dans cet univers où la noirceur devient une offrande et la douleur, un plaisir. Sa musique est féministe, crue et méritée. Le Belladone, c’est mordre dans un fruit empoisonné et se rendre compte qu’on aime le goût du poison.